Maitresse était là hier. Ayant un petit dérangement disons « anal » elle m’a permis de ne pas être utilisé par cet orifice pour cette séance basée sur le traitement de mes seins. Si mon orifice anal n’a pas servi cette fois-ci c’est mon orifice buccal dont s’est servi ma maîtresse en y plongeant régulièrement ses doigts pour en retirer un maximum de salive afin d’humidifier toujours plus mes seins(qui prennent du volume). Ma maîtresse sait y faire pour rendre mes seins aussi souples que ceux d’une vraie et réelle femme. Elle sait les tirer tout en les soupesant bien et en faire de vrais petits mamelons à mettre dans un parfait soutien-gorge. Les mots sont puissants dans mon vortex et ils ont effet d’accentuer tous les effets que ma maîtresse souhaite que j’ai. « pute, petite pute, ma chienne, chienne, salope » tous mes qualificatifs sont bien prononcés et je l’en remercie. J’aime devoir tirer la langue, haletante pour montrer que cet orifice doit être comblé et rassasié. Les mains, la salive, la mouille, la masturbation frénétique, les coups de langue, les fessées intempestives sur mon cul de salope auront raison au bout d’un très long moment que mon jus sorte en saccade avec grande jouissance et orgasme(je ne savais plus où j’étais tellement le vice était grand). Ma maîtresse aime à me regarder laisser tomber ma jouissance devant elle. Cela ne l’empêche pas de continuer à me lécher et me tirer sur mes seins entre deux saccades. C’est heureuse que je suis lorsque je sens mon jus et que je peux le regarder en sentant ma maître rassasiée cérébralement. Il manquerait la coupe de champagne pour la remplir de jus et la boire mais je laisse ma dominatrice penser à cela. Je n’oserais pas induire. Une après midi dont je me souviendrais encore en mode libertinage d’amants d’appartement. J’aime servir Madame surtout quand elle me rémunère en string affriolant comme elle a fait. Pour tout cela je lui dit « Merci Madame, merci Maîtresse ».