Madame étant en abscence prolongée, mon goût du vice, ma dépravation ne se tarient pas du tout. Au contraire ma longue et sûre descente ou ascension dans tous les divins plaisirs continue avec le plus grand délice qu'une chienne mâture comme moi sait apprécier au plus haut point. Femme salope, femme vicieuse, femme de plaisirs j'aime m'adonner à des exhibitions pour certains messieurs appréciant mes courbes, mon vice et mon jus. Quelques clichés qu'il a apprécié au plus haut point de sa jouissance sur le sol 

J'ai une relation spéciale avec ma maîtresse, je l'avoue et je sais que je suis une petite chienne privilégiée. Je suis tellement chienne et mes envies sont toujours crescendo. Toujours trempée, toujours une envie c'est moi. Ma maîtresse sait cela et j'ai cette chance qu'elle me laisse proposer des choses. Cela fait longtemps que je veux lui montrer mes progrès dans l'écartement de mes orifices. Oh elle les connaît ces progrès puisqu'elle même se sert déjà de ceux-ci. Ce ne sont plus des petits calibres que ma bouche prend mais d'assez gros. Il en est de même pour mon cul. 

Je me suis donc toute préparée avant sa venue avec mon gros plug noir notamment. Je l'ai gardé pendant une bonne heure pour pouvoir avoir mon orifice déjà élargi avant de m'empaler sur mon gros gode. 

Me voici enfin prête. Bien élargie. Ce n'est pas coutume, d'habitude je m'empale le gode à même le sol mais là je veux proposer à ma maîtresse quelque chose de vraiment agréable alors c'est sur le lit que je place celui-ci. Je me positionne. J'enlève le plug, je pointe ma chatte sur le gode, je sens le réservoir du préservatif cogner les lèvres de mon trou et pénétrer celui-ci. 

Je m'actionne depuis vingt minutes. La porte de la chambre s'ouvre. Ma maîtresse rentre dans la chambre. Je continue à m'empaler sur toute la longueur de mon gode. Madame se prépare. Elle m'apparaît juste vêtue d'un string noir en cuir et d'un magnifique soutien-gorge à la texture transparente. J'aime quand elle est vêtue de noir et de blanc, mélangeant le fetish et le côté bourgeois. Elle s'approche de moi. Je m'empale plus rapidement. Ses doigts titillent mes têtons, les lèvent, les pincent magnifiquement. Ce n'est même plus excitée que je suis, c'est encore plus que cela. Tellement le gode prend place si bien dans ma chatte qu'une chaleur énorme m'envahit. Mon clito alors libère toute sa semence. Mais je ne dis rien à ma maîtresse. A son regard je me sors du gode et je me place à genoux pour rejouir à nouveau comme la bonne chienne et la pute de sa maîtresse que je suis. 

En bonne chienne de ma maîtresse j’ai repris les séances. Je ne faiblis pas dans l’entraînement anal. Cependant celle-ci a beaucoup axé les séances qui viennent sur mon autre orifice : ma bouche. J’ai donc eu droit à plusieurs entraînements dans ce sens. Il est vrai que chez une chienne autant sa bouche que son cul doivent être enclins à recevoir. Je reçois beaucoup de choses dans ma bouche de chienne par ma maîtresse : ses doigts   pour donner de la salive, pour mieux lécher, mon jus après chaque traite. Mais pendant les deux séances que j’ai eu ces quinzaines j’ai compris que ma bouche devait être comblée comme il le fallait. Le gros gode-ceinture a donc été mis à contribution pour écarter mes lèvres, rentrer dans ma bouche et me fouiller pour me combler totalement allant jusqu’à la gorge. J’avoue avoir eu du mal au début sur les ordres de ma maîtresse à pomper avidement le gode et l’enfoncer presque jusqu’à la garde mais mon entraînement a payé. J’aime quand elle me fouille maintenant ma bouche avec ce gros jouet tout en me tenant la nuque pour qu’il rentre mieux. J’aime aussi qu’elle le remue, l’entendre descendre dans la gorge et devoir toujours pomper correctement. Les séances sont rudes mais j’aime cela. Comme elle le dit je suis une bonne chienne et une bonne petite pute qui doit s’accomplir ainsi. Je ne manquerais d’ailleurs pas à mon devoir pour cela et pour rien au monde tellement c’est si bon.