Vous allez trouver étonnant de revoir mon écriture ici. Trop de blogs tue les blogs donc plusieurs ont été supprimé et nous avons gardé celui-ci pour continuer l’histoire de claudia la travestie dépravée et mise au rang de chienne par sa Maîtresse. Nos séances ont repris dans un univers de domination, soumission. Je suis sa chienne. C’est avec elle mon unique fonction. Et dans ce cadre-là je dois entretenir ma personnalité de chienne pour être parfaite face à elle lors de nos séances. Ma vie tourne donc beaucoup autour d’une excitation permanente, de traites de mon jus très fréquentes et d’échanges avec Madame par tous les moyens de communication possibles afin que mes envies ne disparaissent jamais. Deux traites le matin obligatoires, deux traites en soirées obligatoires sont le minimum que je dois fournir. Si mes après-midi ne sont pas occupées je donne deux traites pour maintenir le vice qu’elle a mis en moi. Je dois être tout le temps tentée au vice et m’accomplir ainsi. Me distancer de ma maîtresse m’a permis de vivre en bourgeoise. Claudia a ainsi pris de l’assurance en femme du monde mais la chienne n’a jamais disparu. Lorqu’une maîtresse comme Madame met du vice dans une chienne de mon acabit la chienne reste une chienne et à vie. C’est ainsi. Même seule Madame est toujours là dans mon esprit à me tenter. Les images se bousculent dans ma tête et le bandeau se positionne sur mes yeux. Mes cuisses s’écartent. Et la scène apparaît comme si elle était vraiment là. Je l’entends m’ordonner « bandeau ! « ou encore « à genoux ! » et je sens la langue commençant à lécher mes seins de chienne et ses dents les mordiller pour les chauffer. Si le réservoir de tentation et de désir se vide il se remplit à chaque nouvelle séance et l’envie remonte au maximum. Autre image qui me reste très souvent. Je vois et sens le mousqueton de la laisse qui se ferme dans mon collier. Elle tire sur la laisse et je me fais promener dans toute la grande salle, je marche tête baissée dans le couloir et je suis immobilisée cuisses écartées debout devant le lit. Alors un « à genoux « de circonstances fuse dans la chambre. Ce n’est pas très fort au niveau volume mais bien assez pour savoir que je vais être dominée comme je dois l’être. Et il n’y a pas meilleure chose.
Autre image me hantant en permanence sans doute me rappelant un trio…. : le gode ceinture est positionné sur le lit. Madame m’a amené du fond de la salle en laisse et m’as mis à genoux. « regardes et fixes cette bite que tu vas prendre en bouche » me dit-elle. Pendant une vingtaine de secondes je fixe l’énorme gland. Sa main vient alors derrière ma nuque, ma bouche s’apporche du membre. « ouvres ta bouche, lèches et suces chienne » m’ordonne t’elle. Je m’éxécute. A genoux je présente mon cul qui est fessé et surtout plugguée profondément et à grands coups comme elle sait le faire. Son autre main vient pincer, tordre mes têtons ou appuie par intermittence jusqu’à ce que je prenne le membre en entier. Lorsque celui ci est trop profond et que l’on entend le fameux « cloc cloc » elle m’ordonne de m’arrêter de regarder à nouveau et je dois recommencer jusqu’à m’épencher de mon jus qui tombera dans une écuelle en inox et qu’elle me fera boire par la suite jusqu’à la dernière goutte. Mais pour le moment l’heure est à la traite du matin, pomper mon gode ceinture comme dans cette belle séquence et attendre quelques mots de soumission de Madame.
A bientot
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