Une bonne éducation fait une bonne soubrette...

Claudia suce le gode avec avidité. Sa maîtresse enfonce le gode au fur et à mesure de plus en plus loin dans sa bouche. Elle continue à lui travailler les seins.

-         Ne t’arrêtes pas, ne t’arrêtes pas je te dis. Tu dois aller toujours plus loin. Ouvres bien ta bouche ! Continues et écoutes bien ce que je vais te dire. Saches que tu ne peux plus me manœuvrer comme tu l’as eu fait par moments. Ce temps-là est fini pour toi.. Lorsque je t’avais dit que tu étais une chienne à bite je savais de quoi je parlais. Tu es versatile et tu es une belle chieuse mais je vais t’éduquer ou du moins je vais éduquer ton mental pour que tu sois la plus servile, la plus docile des salopes soumises et tu le seras. Ce n’est pas toi qui demande c’est moi qui ordonne. Ne l’oublies jamais. Ne t’arrêtes pas je te dis suces ! Tu as été la belle putain d’un maître tu seras ma belle soubrette, la mienne, ma favorite et je ferais tout pour que tu le sois parfaitement. Lorsque tu es en relation avec moi, devant moi, c’est moi qui décide tu ne décides pas. Ne t’arrêtes pas. Tu es devenue une vraie petite femelle, une belle chienne. Tu es une vraie salope soumise qui aime se faire prendre soit par la chatte soit par la bouche. Ne t’arrêtes pas je te dis ! Suces bien, suces fort ! Je veux que tu avales le plus loin possible ce gode ! N’oublies pas tu es à mon service pour moi et tu dois satisfaire mon plaisir de t’amener à être toi : une vraie salope soumise. Tu verras que faire reluire un sol avec une barre de soumission entre les jambes sera un jeu d’enfant pour toi. Sens-tu comment tes seins sont dressés, comme ils sont gros, bien développés comme de vrais seins de femelle. Tu mouilles hein ? Et oui tu mouilles parce que tu es salope. C’est ainsi. Allez continues, branles et ne t’arrêtes pas et penses à ces trois mots dont je t’ai parlé. Je t’amènerais à la docilité et à la servilité la plus parfaite. Ton caractère de chieuse sera totalement dévoré par ton côté soumise crois-moi ma chérie. Qui sait t’exhiberais-je….Mais d’abord il faut casser ta rebellion et te rendre le plus docile possible après d’autres phases arriveront. Voilà très bien comme cela libères-toi oui penses que c’est un vrai sexe d’homme, de mâle, de mec. Imagines bien. Très bien arrêtes maintenant et redresses-toi.

Diffiicilement claudia se relève. Sa bouche est très chaude, toute ouverte. Madame pince ses seins et la tire à elle.

-         Approches salope ! Approches plus ! Oui çà fait mal et je ne veux pas t’entendre. Je veux seulement entendre tes gémissements, tes cris, ta jouissance. J’aime t’inciter, t’ordonner, t’exciter et t’observer perdue dans le plaisir comme si tu ne savais plus où tu étais. Tu vas jouir et tu vas jouir intensément. Tellement tu jouiras tu auras envie de recommencer. Je t’autorise à poser un bras sur mes cuisses. Fais voir ton clito. Tu vois il est trempée comme une vraie femelle. Impeccable ! Autant tu as été interdite de me regarder dans les yeux autant là je vais t’y obliger pour que ce souvenir te reste tout le temps. A chaque fois que tu te branleras, que tu te goderas ou que tu te pluggueras c’est ce souvenir que tu auras dans ta tête et c’est celui-là qui fera ta jouissance. Branles-toi et regardes moi. Regardes-moi bien pendant que je travaille ta poitrine. Et branles, branles fort et t’arrêtes pas. Jamais tu ne dois t’arrêter. Allez allez !!!

Claudia se branlait. A genoux Madame lui travaillait sa poitrine en tirant sur les têtons bombant les seins. Sa poitrine sentit ainsi et aussi les dents de sa dominatrice. Son regard ne pouvait baisser et elle se mît à jouir dans des cris de femme de vraies femmes. Sa maîtresse lui intima de lécher tout le jus qui était versé. Et claudia s’éxécuta. Elle dû se relever se rhabiller en soubrette et se remettre au travail. Son travail consistait à accompagner sa maîtresse au bain.

Ce n'est pas un scénario ou une mise en scène que j'induis je ne me permettrais pas. En bonne soubrette soumise de Madame j'ai pensé cela. J'en relate les grandes idées pendant une masturbation effrenée.

La porte-s’ouvre soubrette claudia rentre dans la chambre de Maîtresse…

-         Approches ! Je veux voir ta tenue. Très bien tu as le collier. Relèves ta mini-jupe ! Bien ! Tournes-toi  maintenant ! Lèves ta jupe je t’ai dit ! Bien plugguée ! Ca ira ! Ah tiens montres-tes chevilles que je vois tes bracelets de soumission aux chevilles. Voilà très bien. Amènes-moi le petit déjeuner maintenant.

-         Oui Madame.

Claudia sort de la chambre. Elle descend l’escalier. Elle commence à préparer le petit-déjeuner à sa Maîtresse. Elle prend le plateau bleu y installe une tasse, y jette une sucrette, et y pose une cuillère à café. Elle choisit la serviette de Maîtresse, la plie en quatre et la pose sur le plateau. Elle se tourne face à l’évier. Elle remplit le broc de la cafetière d’eau et met de l’eau dans la cafetière. Elle dose ensuite la cafetière qu’elle va faire. Elle sort ensuite les biscottes qu’elle beurre et enduit ensuite de confiture. Elle dispose les tartines sur la serviette dans le plateau. Le café est prêt elle verse celui-ci dans la tasse de Maîtresse. Elle ne se servira pas de café. Elle rajoutera sur le plateau un grand verre d’eau. Toutes ces procédures claudia les connaît bien et les applique à la lettre. Le plateau est prêt. Elle saisit celui-ci et se dirige à la chambre de Maîtresse. Elle soulève le loquet et rentre. Sa maîtresse se redresse. Claudia pose le plateau. Elle remonte l’oreiller afin que sa maîtresse soit droite dans le lit.

-         C’est bon tu peux me servir.

-         Oui Madame

-         Très bien pendant que je déjeune mets-toi au travail devant moi !

-         Oui Madame.

Claudia fait le tour du lit.

-         Puis-je ouvrir la fenêtre Madame ?

-         Oui tu peux

-         Bien Madame

Claudia prend le plumeau et dépoussière les tablettes du mur sous la fenêtre en faisant attention de ne pas remuer trop de poussière pour ne pas incommoder sa maîtresse. Elle dépoussière la commode, ferme les tiroirs. Elle range ensuite les chaussures de Madame en les mettant les unes à côté des autres. Elle plie les affaires de sa maîtresse les range en pile. Elle prend le balai. Elle retourne de l’autre côté du lit et commence à balayer toute la chambre. Elle ramasse les poussières et les saletés avec la pelle. Elle sort de la chambre et jette le tout dans la poubelle. Elle revient dans la chambre. Sa maîtresse a fini le petit déjeuner.

-         Débarrasses !

-         Oui Madame.

-         Amènes tout à la cuisine et reviens vite.

-         Oui Madame.