Nous arrivons à la fin de cette année et j’avoue que je suis contente de commencer la nouvelle année toujours en collier et au service de ma maîtresse. Je suis tellement heureuse d’être à son service en séance que j’ai effectué la requête pour reprendre mon contrat de travail au poste de soubrette et de servante sur sa demeure lorsqu’elle n’était pas là. Cela fait trois mois que ma reprise en mains a commencé et j’en suis forte contente d’avoir été remise à ma place de sissy soumise. Plusieurs personnes ont œuvré pour m’amener à ce que je suis devenue actuellement. Deux maîtres ont beaucoup compté et ils comptent encore beaucoup pour moi dans mon esprit mais c’est dans la servitude à ma maîtresse que ma vie prend un sens.

Beaucoup de libertines, de libertins, raillent les relations dîtes « vanille » car elles ne sont pas à leurs yeux de vraies relations sm. Sauf que tout change avec une sissy soumise cuckold comme moi. Ma maîtresse est une femme gynarchique que je sublime qui a su imposer et s’imposer une liberté de rencontres tout en me plaçant pour mon plus grand bonheur à la place de soumise totale à ses pieds ou ses talons . Ce qui m’a transformé c’est cela :  ce fait de devenir la lope soumise de Madame pendant que celle-ci allait faire ses rencontres pour son plus grand bien. Etre une sissy cukold a été une révélation pour moi et je ne souhaite pas laisser partir cette adrénaline qui me fait tant mouiller tous les jours en bonne putain que je suis devenue. Et il n’y a que la relation vanille qui offre cette pervertion subtile et magnifique. Et vivre en putain soumise de Madame tous les jours est une véritable aubaine.

Lorsque Madame vient dans mon appartement j’aime la recevoir avec tous les égards qui sied à son rang de ma part. J’aime que tout soit propre, rangé pour elle afin qu’elle évolue dans un milieu qui est à la hauteur de sa grandeur. Et si quelque chose n’est pas fait je dois vite m’éxécuter à accomplir ma punition. J’aime passer briquer, me mettre à quatre pattes pour frotter, la servir avec des gants et en baissant les yeux. Je la remercie de m’avoir enlevé toutes les attitudes d’homme qui restaient en moi. J’ai un clito, une chatte, une poitrine. C’est un bonheur d’être démasculinisée de la sorte. J’avoue que les nombreuses traites de jus que j’ai effectué tous les jours ont renforcé et soutenu cette féminisation.  Je suis la chienne soumise  de Madame, sa sissy soumise, sa servante, sa petite putain, sa pute soumise. M’être faîte loper et dresser de la sorte a été une aubaine grandiose. 

Ma maîtresse est venue ce mercredi dernier. Est-il utile de vous dire qu’en bonne petite féminisée tout était prêt dans mon chez-moi pour la recevoir comme elle le demande à chaque fois. Une soumise arrive toujours à se dépasser pour sa maîtresse. Le temps est court. Madame m’a signalé son heure d’arrivée plus tardive que d’habitude. Je ne sais ce qui m’a pris mais sûrement mon esprit totalement féminisé lui-aussi j’ai annulé mon rendez-vous et l’ai fait retarder pour permettre à ma maîtresse de profiter de cet instant. Ne m’étant pas faite de lavement j’ai demandé à Madame si je devais en faire un et j’ai eu une réponse qui m’a surprise « non ». J’ai vite compris dans la séance qui a suivit pourquoi je n’en avais pas besoin ce jour-là.

Devant elle tout est devenu rituel bien accompli : tenue laissant apparaître mes seins de femelle, et en collier et en laisse apparents devant Madame. Je suis toujours assise à une position inférieure par rapport à elle. Je la laisse toujours se déshabiller et j’attends. L’attente est longue, toujours longue. Elle porte aujourd’hui des dessous blancs. J’arrive dans la salle et me présente à elle : cuisses écartées, bandeau sur les yeux et bras croisés dans le dos.

Ce sont toujours les mêmes ordres que j’entends et je m’habitue progressivement au rituel. «  A genoux, à quatre pattes, lèches le gode maintenant suces ». C’est ainsi que commence ce moment. J’ai très peu léché. Pourtant je lèche beaucoup plus longtemps un membre d’habitude. J’ai dû sucer très vite et très profondément. Ma maîtresse sait entraîner une chienne à bîtes comme moi. Alors ses mains viennent sur ma tête, sur ma nuque et pousse ma bouche sur le gode très épais et j’enfonce celui-ci dans ma bouche de femelle. Pendant un très long moment je suce je pompe et ma maîtresse commence à me travailler mes seins. Ils seront l’objet de la séance d’ailleurs. Le gode va loin maintenant dans ma gorge. Je suce tellement vite et loin que cela m’en étourdit. Ma maîtresse m’appuie encore plus fort pour que j’aille plus loin encore. Chose que je ne faisais pas avant je gémis de plaisir d’être une bonne femelle soumise et d’avoir une poitrine qui se forme comme celle d’une femelle et sous les doigts de ma maîtresse. Mes têtons sont pincés, tirés, travaillés comme toute femelle soumise doit les avoir travaillé. Je suis fière d’être la femelle que ma maîtresse édifie. Je suis ensuite mise à genoux.

Pendant un très long moment mes seins ont été travaillé comme ceux d’une femme. A genoux je les sens se bomber. Ma maîtresse a continué ce travail face à moi.  Mordillés, pincés très fortement, léchés, sucés et travaillés avec ma salive(ma bouche sert à ma maîtresse pour s’enduire les doigts de salive pour mieux les travailler). Mes fesses ont reçu aussi de belles claques(normal je suis la soumise de Madame). J’ai donné mon jus ma mouille comme une vraie femelle que je suis devenue.

Depuis cette séance je me sens encore plus femelle disons même ultra féminine dans ma tête et mon corps. J’ai pris conscience que je suis la femelle soumise que je suis et ce tout le temps. Si j’ai un cul il sert à Madame pour le fesser, mon petit trou c’est ma chatte quand à mon « ancien torse » il s’est transformé en poitrine féminine avec les mêmes sensations que celle des femmes. Mon sexe n’est pas là pour la pénétration. C’est un clito comme ceux des femmes. Je mouille comme une femme. Ma bouche sert à madame et surtout à ses doigts pour lui donner la salive dont elle a besoin dans nos rapports. Je dois imaginer tout le temps que j’ai « une bite de mec à sucer »  cela la rend plus expressive. Que j’aime ou pas cette sensation d’être femelle peu importe je le suis mais je l’aime beaucoup. Femelle transgenre de Maîtresse Agatha était le projet de cette année 2015 en 2016 nous vous réservons de nouvelles surprises. 

Ma Maîtresse est grande... Je pense que de tous les dominants et dominantes qui m'entourent c'est elle qui m'a construit le plus dans mon statut de femelle. Elle me dit souvent que j'avais les capacités pour être la chienne que je suis mais j'avoue qu'elle progresse elle-même dans son art et m'en fais bénéficier à chaque instant. Elle ne porte pas de cuir(encore) bien que j'avoue trembler à la vue de son long manteau et de ses mini-jupes hyper féminines. Elle est plus bottes que talons(mes envies de lécher ses talons m'envahissent). Ma Maîtressse est classe et bourgeoise, une vraie Maîtresse de maison qui sait ce qu'elle veut et surtout pour sa chienne. Nous avons une relation sm, D/S excellente, frustrante, humiliante pour moi donc très bonne. Cependant j'apprends toujours dans ce dressage à être la chienne, la femelle qu'elle construit à son image. Le chemin est long, tortueux, difficile. J'ai des punitions que j'éxécute car je les mérite. Je propose des requêtes elle les accepte parfois et parfois aussi je suis vilaine et je me fais punir. 

Hier vendredi je pensais(stupide idée de chienne que je suis) que Madame Agatha viendrait vers 17.00 me voir pour une séance or ce que je n'avais pas vu est, que ma Maîtresse ne m'avait pas contacté par sms avec le mot "séance". Mais elle est donc venue. J'ai eu une séance rude à vrai dire dont ma chatte se souvient encore. Certaines croient que lorsqu'une grosse queue pénètre cela fait plus mal qu'une petite et que c'est pareil pour un gode que nenni. Ma maîtresse m'a fait comprendre d'entrée qui j'étais et à quel statut je me devais de rester.

J'ai eu donc droit à un cravachage en règle : "c'est moi qui dit, qui fixe les séances chienne tu as bien compris !" . A quatre pattes, j'ai offert mon cul et ma Maîtresse m'a pluggué la chatte mais d'une manière très rapide le fouillant dans tous les sens me faisant hurler comme une réelle femelle soumise. Mes seins n'ont pas été pincés mais mordus et j'ai dérouillé en claques sur les fesses bien méritées. J'en ai joui très longuement. Jamais plus je ne devancerais ma Maîtresse j'attendrais sagement le mot "séance" sur mon téléphone. J'ai bien compris la leçon. C'est une bonne Maîtresse et elle a bien eu raison de me corriger ainsi. Une fois partie elle m'a envoyé un sms afin que je me re-corrige pour bien me souvenir que seule, elle avait l'autorité de décider d'une séance ou pas. Je me suis cravachée comme elle a ordonné de 10 coups en totalité, bien répartis, forts avec traces pour preuve sur mes fesses. J'avoue que j'aime laisser des traces sur mes fesses pour bien montrer que je suis une chienne soumise et que je suis sa femelle et sa propriété. 

Je suis pleinement heureuse en chienne soumise. Tellement heureuse que j'ai envoyé une requête à ma Maîtresse qui a été accepté. Je vais avoir un prieuré et je vais pouvoir lors des venues hors séances de ma Maîtresse me positionner à genoux en laisse lorsque je ne la sers pas. D'autres parts je porterais constamment le soir chez moi collier + laisse en attachant la laisse à un objet ou un meuble. Hier soir par exemple lors de ma soirée télé j'étais assise en laisse et celle-ci accrochée à la table du salon. Ce soir pendant que j'écris ici je porte la laisse et celle-ci est accrochée à mon bureau et reliée à mon collier. Dans ma docilité extrême j'ai tenté l'humiliation et cela en a était une. J'ai dormi attaché au lit en laisse. Mais ma Maîtresse ne souhaite pas cela par dangerosité. Je ne le ferais pas car elle m'interdit. Je suis heureuse d'être sa femelle soumise oui vraiment.