Semaine pleine pour moi…Ma maîtresse souhaitait venir prendre collation d’un café vers 13.00. Je suis passé de claude à claudia en tenue de soubrette affublée de mon soutien-gorge rouge et noir evasé aux têtons pour rendre ma poitrine disponible à tout moment, de mon bustier noir, et de mon string noir au magnifique triangle transparent habillant la raie de mes fesses de pute soumise de Madame M. J’ai ainsi reçu ma Maîtresse M pour ce qui devait être une collation. Le vouvoiement instauré balbutie un peu et quelques tutoiements d’erreurs apparaissent encore mais en tant que soumis je me plie à cet exercice qui deviendra permanent verbalement. Ma maîtresse me tutoie merveilleusement sans erreurs. Nos sujets de conversations tournent dans le domaine de l’habillement, des dessous, des sites de lingerie, de fetish. La collation finie j’ai pensé que je devais me rhabiller en claude soumis mâle et que je pourrais vaquer à mes activités professionnelles. Pour ce faire je me suis rendue dans la chambre rouge et noire et commençais à changer mon string. Mais c’était sans compter sur la perfection de ma maîtresse à asseoir son pouvoir et sa persuasion. Elle alla au salon d’aisance et rentra dans la chambre.

Elle me toisa et m’intima l’ordre de basculer vers le grand tabouret de bar situé dans le paravent en fer noir. De dos à elle, je prends plusieurs claques sur les fesses. Je les ressens comme des punitions dues à mes erreurs de langage concernant mon vouvoiement. Ses mains viennent tâter et presser mon clito qui est tendu et dur. Elle le branle vigoureusement. Je mouille beaucoup. Elle se penchera sur moi à plusieurs reprises pour commencer à pincer mes têtons et régulièrement m’enverra de fortes claques sur mes fesses. Je suis prise comme une pute bien soumise. Je dois tortiller du cul. Je suis alors retournée vigoureusement. Je dois m’asseoir vite sur le tabouret face à elle, poitrine proéminente, offerte. « tires ta langue salope » dit elle. Je m’éxécute. Le travail de mes seins commence. Je dois mouiller mes doigts. Elle guide ma main jusqu’à ma langue puis se baisse et me gratifie d’une fellation pour mouiller plus mon clito. Au bout de quelques minutes elle se relève face à moi m’oblige à la regarder dans les yeux. Sa langue, puis ses dents viennent mordiller fortement mes têtons. Ils seront pincés travaillés pendant plus de vingt minutes. Je gémis comme une petite chienne en chaleur. Elle m’annonce qu’elle veut que j’aille voir des sites proposant des godes ceintures pour en obtenir un et qu’elle puisse m’enculer comme une pute bien profondément. De plus je devrais m’adonner à un travail anal le soir de notre entrevue. C’est par un « oui Maîtresse » que j’acquièce. Je dois garder ma langue sortie, me masturber, gémir en chienne que je suis et jouir. Je jouis d’une grosse giclée. Je baisse la tête. Ma maîtresse reste là à me toiser me regarder puis quitte la chambre.

C’était une séance courte ….

« M » ne prévient pas  lorsque la suite arrive. J’en ai fait les frais en deuxième partie de partie de séance. Après avoir resservi quelque collation et boisson, d’un éclair comme en début de séance la laisse m’est remise et je me retrouve à nouveau tirée avec ordre de me tenir debout cuisses écartées. D’un coup sec elle tire sur mon collier et m’oblige à me mettre à genoux puis j’entends un « à quatre pattes ». Je m’éxécute. Je suis en position de chienne à quatre pattes tête baissée. Mes yeux ont pour tout décor le sol et sa couleur blanche. Je vais ré-apprendre la position d’allégence aux pieds de ma maîtresse. Elle me présente sa botte de cuir et j’entends un « baisses toi et lèches « . Je m’applique à répondre par l’acte à cet ordre. Je lèche le bout de la botte, je remonte sur le talon sans m’arrêter. Le temps s’est arrêté. Je suis soumise au plus haut point, la chienne soumise de Maîtresse M. Je ne le sais pas mais Maîtresse prend à nouveau des clichés de sa chienne en état de soumission totale. Après quelques minutes de salut en soumission je dois me relever. Je suis tirée à nouveau vers le sofa. Je n’aurais pas droit encore à la marche à quatre pattes j’y ai échappé de justesse. 

« Debout cuisses écartées salope ! » entends-je. Je m’éxécute mains derrière le dos. Maîtresse est assise sur le sofa confortablement. Je suis face à elle. Elle me présente le gros gode. « suces » dit-elle. Je m’applique. « Voilà suces en pensant au gode-ceinture qui viendra t’enculer très bientôt pour bien te remplir comme une chienne soumise ». Je ne sais plus où je suis, partie dans le vice de « M ». Je dois plier. Mes jambes tremblent tellement je suis excitée. J’en ai mal aux genoux. Comme elle me l’a intimé je me branle. Mon clito est trempé, mouillé, gluant. Maîtresse ne me sucera pas. Je devrais en bonne chienne soumise sortir mon jus ainsi. Elle s’affaire de manière perverse en léchant mes têtons les pinçant et en me fessant le cul. Ma position n’est pas confortable. Je supplie pour être à genoux à même le sol. Elle accepte. 

Je me retrouve face à elle, les yeux dans les yeux. Ses mots vibrent en moi comme un écho régulier, immuable. « tires ta langue et branles toi fort pour moi, allez chienne !  tu es ma chienne, tu es à moi, et tu es ma pute soumise, ma putain et ma propriété ». Mon clito régulièrement abonde de mouille et je n’arrive pas à en arrêter le flot. Ma main en est toute gluante. Je dois tortiller du cul comme une « pute soumise que tu es » selon l’expression de ma maîtresse. Le travail de mes seins se fait avec les doigts et avec la langue. Mais ce sont les doigts qui les excitent toujours plus. « M » sait que c’est le moment et elle pousse la pervertion et la perfidie verbale : « comme çà, comme çà, mmmm tu aimes çà tu es une bonne pute soumise tu sais, allez, branles, t’arrêtes pas et tires ta langue salope ! Allez «  et c’est sur ces mots que mon jus de chienne jaillit et va choir sur le sol. Je reste tête baissée. « M » s’est dégagée de sa position. La séance est finie. Je deviens à partir de ce jour son soumis, sa chienne soumise et sa pute soumise. 

Comme l’a demandé Maîtresse M je m’exécute donc à la difficile tâche de la perfection, il est 16.00. En bonne salope soumise je vaque au grand thème de la préparation bain, douche, rasage(de ma partie pubienne de chienne), épilation, maquillage, petit lavement anal. Je n’oublie rien du moins j’essaie….

16.30 phase de l’habillage. J’ai ressorti mes bas période « bar des putes » mon porte –jarretelles que m’a acheté Maîtresse M, mon bustier, mes mitaines longues en résille et je recouvre le tout d’un très long tshirt féminin qui arrive au raz des jarretières. Je passe mon tshirt transparent noir par dessus tout cela et me chausse de mes talons blancs. Ma  première phase de préparation est finie.

Mais ce n’est pas tout. J’habille mes chevilles de deux bracelets noirs en cuir provoquants. Je passe ma médaille signée du mot « pute » et me voilà prête. Bientôt 17.00. Je m’apprête comme Maîtresse M me l’a demandé à bien organiser la salle de bain et à préparer le boudoir où je la recevrais. C’est ma première séance longue en tant que chienne soumise à M et ne veut rien manquer.

Il est 17.00. Malgré la musique. J’entends les pas décidés de Maîtresse M dans le couloir. La sonnette retentie. Elle rentre vite. Elle pose son sac et va à l’essentiel en sortant un collier de cuir fraîchement acheté et la laisse qui sied à celui-ci. Elle me demandera un ciseau pour enlever l’anti-vol d’achat. Et à partir de ce moment-là je glisserais des « Madame » discrets comme il était prévu. Je m’assois sur le canapé et attend sagement la mise du collier. Elle me le passe pour que je me le mette moi- même mais étant un peu gauche avec la rigidité du cuir elle vient finir le travail. Me voilà en collier. Elle s’assoit et déguste son café, son carré de chocolat. J’attends droit devant elle. Elle m’autorise à m’asseoir et à prendre le café avec elle. Je croise mes jambes comme une petite femelle. Je déguste le café et l’écoute. L’ambiance n’est pas pesante mais tranquille et à vrai dire zen. Toute la séance reposera sur ce système avec des flashs de parole comme celui qui arrivera après «va me faire couler un bain ». L’éxécution est rapide je suis docile. Je reviens me replace debout et Maitresse me demande de m’asseoir à nouveau. Le bain coule. Je me permets de la stopper et lui dit que le bain est prêt. Madame se lève et se dirige vers la salle de bain.

Pour l’instant je réponds à un sans faute. Et bien que ce moment sub long ait commencé quelque chose me dit qu’il va y avoir une surprise ou des surprises. Maitresse se lève et va dans la salle de bains. Je la suis. J’attends derrière elle. Elle se déshabille. Elle passe une jambe dans la baignoire où flottent boules de bains et m’ordonne de lui tenir le bras pour se mettre entière dans l’eau. En bonne soubrette je m’éxécute et je guide ma maîtresse dans le bain. Elle s’allonge. Je reste à côté d’elle, docile en faisant frémir l’eau afin que tout son corps se baigne. J’effleure son corps. J’aurais bien eu envie d’aller toucher son fruit mais je n’ai eu aucune autorisation, aucun regard. Alors j’obéis. J’obéis en allant chercher une cigarette. Mais je ferais un arrêt en cuisine. Et je sortirais ma surprise pour le bien-être de ma maîtresse : une bouteille de champagne. Je rentre avec celle-ci dans la salle de bains. Et Maîtresse M me permettra d’en boire. Après ce moment d/s convivial, Madame M se lève. Je l’aide à sortir du bain. Elle se rhabille : bottes, pas de bas, string rouge et noir. Ce sera une Maîtresse au look amazone auquel j’aurais droit. Un droit que je prends avec le plus grand respect.