« M » ne prévient pas lorsque la suite arrive. J’en ai fait les frais en deuxième partie de partie de séance. Après avoir resservi quelque collation et boisson, d’un éclair comme en début de séance la laisse m’est remise et je me retrouve à nouveau tirée avec ordre de me tenir debout cuisses écartées. D’un coup sec elle tire sur mon collier et m’oblige à me mettre à genoux puis j’entends un « à quatre pattes ». Je m’éxécute. Je suis en position de chienne à quatre pattes tête baissée. Mes yeux ont pour tout décor le sol et sa couleur blanche. Je vais ré-apprendre la position d’allégence aux pieds de ma maîtresse. Elle me présente sa botte de cuir et j’entends un « baisses toi et lèches « . Je m’applique à répondre par l’acte à cet ordre. Je lèche le bout de la botte, je remonte sur le talon sans m’arrêter. Le temps s’est arrêté. Je suis soumise au plus haut point, la chienne soumise de Maîtresse M. Je ne le sais pas mais Maîtresse prend à nouveau des clichés de sa chienne en état de soumission totale. Après quelques minutes de salut en soumission je dois me relever. Je suis tirée à nouveau vers le sofa. Je n’aurais pas droit encore à la marche à quatre pattes j’y ai échappé de justesse.
« Debout cuisses écartées salope ! » entends-je. Je m’éxécute mains derrière le dos. Maîtresse est assise sur le sofa confortablement. Je suis face à elle. Elle me présente le gros gode. « suces » dit-elle. Je m’applique. « Voilà suces en pensant au gode-ceinture qui viendra t’enculer très bientôt pour bien te remplir comme une chienne soumise ». Je ne sais plus où je suis, partie dans le vice de « M ». Je dois plier. Mes jambes tremblent tellement je suis excitée. J’en ai mal aux genoux. Comme elle me l’a intimé je me branle. Mon clito est trempé, mouillé, gluant. Maîtresse ne me sucera pas. Je devrais en bonne chienne soumise sortir mon jus ainsi. Elle s’affaire de manière perverse en léchant mes têtons les pinçant et en me fessant le cul. Ma position n’est pas confortable. Je supplie pour être à genoux à même le sol. Elle accepte.
Je me retrouve face à elle, les yeux dans les yeux. Ses mots vibrent en moi comme un écho régulier, immuable. « tires ta langue et branles toi fort pour moi,
allez chienne ! tu es ma chienne, tu es à moi, et tu es ma pute soumise, ma putain et ma propriété ». Mon clito régulièrement abonde de mouille et je n’arrive pas à en arrêter le
flot. Ma main en est toute gluante. Je dois tortiller du cul comme une « pute soumise que tu es » selon l’expression de ma maîtresse. Le travail de mes seins se fait avec les doigts et
avec la langue. Mais ce sont les doigts qui les excitent toujours plus. « M » sait que c’est le moment et elle pousse la pervertion et la perfidie verbale : « comme çà, comme
çà, mmmm tu aimes çà tu es une bonne pute soumise tu sais, allez, branles, t’arrêtes pas et tires ta langue salope ! Allez « et c’est sur ces mots que mon jus de chienne jaillit et va
choir sur le sol. Je reste tête baissée. « M » s’est dégagée de sa position. La séance est finie. Je deviens à partir de ce jour son soumis, sa chienne soumise et sa pute
soumise.